Les oeuvres de Frédérique Vallerotonda, au plus proche de leur source.

“Chacun veut battre l’eau, fouler la terre, éveiller les vents et glorifier le soleil. Travailler les éléments revient à laisser la porte ouverte à la nature, à l’environnant.
J’aime contempler les collines, observer les effets changeants des nuages, des brumes et de la lumière. Ma peinture des éléments devient alors peinture de l’espace du dedans.
Il s’agit de se retrouver. Que l’eau calme du lac et le paisible miroir du ciel s’accordent aux sources de l’âme et au miroir de l’esprit. Que l’on ne puisse alors plus discerner si le paysage intérieur est un reflet du paysage extérieur ou le contraire.”

— Frédérique Vallerotonda

« Un voyage immersif,
méditatif, face à la grandeur
des éléments, reflets mêmes
de l’âme. »

La peinture de Frédérique Vallerotonda est brutale autant que poétique, et ses mots concernant son travail des éléments remettent en perspective toute la profondeur de ses œuvres, comme reflet d’un paysage intérieur, ou extérieur au contraire. 

À travers cette série, nous voyageons. Le spectateur est plongé, absorbé par des paysages insolents, profonds, lumineux, retranscrivant avec force tout le caractère introspectif qu’a la contemplation des éléments. Ainsi, l’artiste délivre avec justesse une partition qui bat au rythme des vagues intenses d’une mer déchaînée, au doux soufflant du vent sur les champs de blé, ou encore aux lumineuses parhélies d’un ciel chargé.

Alors et pour se rapprocher encore de cette grandeur, la Galerie Alizarine et Frédérique Vallerotonda ont mis en scène « Ciel d’Ajaccio 2 », « Ce que la terre raconte au ciel » ansi que « Des aigrettes dans l’âme », au plus proche des éléments qui les composent, au plus proche de la vie. 

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