Épaulée depuis quelques années par Massimo Craman, Frédérique Vallerotonda est la première artiste à être représentée par la Galerie Alizarine.
Une fierté puisque cette créatrice multidisciplinaire représente à elle seule toutes les valeurs de partage, de lutte et de sincérité que prône Alizarine.

Exposée depuis plus de vingt ans, Frédérique Vallerotonda fait partie de la scène contemporaine émergente, en ayant intégré des galeries françaises, italiennes, suisses et luxembourgeoises.
Connue d’abord pour ses corps nus qu’elle met en scène de façon abstraite et qu’elle laisse libres de toute interprétation – une manière de faire vivre son art par l’imaginaire – l’artiste ne cesse d’évoluer et d’astreindre aux mediums auxquels elle s’attaque une sorte de maîtrise hasardeuse, nous rappelant ainsi l’art de Zao Wou-Ki par exemple.

Récemment, Frédérique Vallerotonda s’est illustrée en présentant au sein du prestigieux Lazaret Ollandini – Musée Marc Petit Ajaccio, une série de grands formats lumineux et transcendants. Une profondeur et une justesse émotive venant jouer les notes d’une partition déjà bien entamée par Marc Petit, dont les sculptures en bronze et sur le temps qui passe, font résonner avec une parfaite justesse les peintures de celle qui ne cesse de se questionner sur ses propres fondements en tant qu’être.